Alchimiste radical
Sur le deuxième album de Zeal & Ardor, Stranger Fruit, Manuel Gagneux perfectionne son mélange instable de gospel et de black metal.

Disque
Coup de tonnerre, il y a deux ans, quand «Devil is Fine» («le Diable est bon») célébrait le Malin par la bouche de Manuel Gagneux. La tonalité negro spiritual de la chanson laissait la place, sur une large portion du premier album de Zeal & Ardor, à la furia black metal – trémolos de guitares saturées, rafales de double grosse caisse à tombeau ouvert. Et c’est précisément sur ce style pris au pied
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