Il est de ces poètes dont les vers méritent qu’on acquière la langue qui les porte: Ossip Mandelstam, martyr au verbe sonore, obscur et magnétique. C’est pour le lire que Jean-Claude Schneider, lui-même traducteur et poète, s’est attelé au russe: «J’ai découvert Mandelstam avec la traduction allemande de Paul Celan, dans les années 1960. Tout […]
Mandelstam, siècle sonore
Les oeuvres complètes du poète russe paraissent pour la première fois en français. Un événement.

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