L’éducation vit au régime sec
Un mois après que le Grand Conseil a refusé d’accepter le budget, les institutions étatiques, notamment dans le secteur de l’éducation, sont contraintes de vivre avec des moyens réduits.

Université
Depuis le début de l’année, l’Etat de Neuchâtel et toutes les institutions qu’il subventionne vivent avec des moyens très réduits. La faute à l’absence de budget, qui n’a pas passé la rampe au parlement en décembre dernier. Face à cette situation inédite dans l’histoire du canton, l’Etat ne peut engager que les dépenses «absolument nécessaires». Pour le premier trimestre de l’année, les dépenses courantes et les subventions ne seront versées
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