L’apocalypse, menace protéiforme
Le Musée d’histoire naturelle de Berne associe l’art à la science pour explorer la fin du monde.

C’est un ciel d’ampoules, dont seules une poignée est allumée. Doucement, elles pulsent, ronronnement doré qui faiblement éclaire la pièce obscure. Mais la lumière est contagieuse. Elle se propage. Et à chaque respiration, le cercle brillant prend un peu plus d’ampleur, gagne un peu plus d’éclat. Maintenant, grondement étincelant, il envahit tout l’espace. Explosera-t-il en mille fragments, brûlant dans son élan le monde, en une apocalypse de feu et de
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