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Mercure dans les vaccins

Françoise Berthoud commente un article du 26 septembre sur les dangers liés au mercure.
Santé

Merci pour l’article intéressant sur le mercure et ses méfaits.

Nous lisons: «L’utilisation du mercure doit être interdite dans différents types de produits comme les piles, les thermomètres, les produits électroniques ou encore les produits cosmétiques».

Oui, bien sûr, tous ces produits nous entourent au quotidien. Et j’y ajoute les amalgames dentaires.

Or, il y a encore du mercure dans les vaccins, même s’il y en a moins qu’avant. Il en existe dans le vaccin de la grippe auquel les enfants n’échappent pas toujours et sous forme de traces dans d’autres vaccins injectés aux bébés dès l’âge de 2 mois. Ce mercure agit comme adjuvant désinfectant, dont il est difficile de se passer lors de la fabrication des vaccins.

De plus, comme le souligne votre article:

«L’exposition au mercure, même à faible dose, peut causer de graves problèmes de santé et constitue une menace pour le développement de l’enfant in utero et à un âge précoce. Elle peut affecter le système nerveux…»

Les premiers cas d’autismes infantiles régressifs (la détérioration du comportement d’un enfant jusque-là sans problèmes) après une vaccination ont été nettement associés au mercure vaccinal, ceci corroboré par des études sérieuses, dès 1980. Actuellement, cet autisme régressif fait le plus souvent suite au vaccin ROR (rougeole-oreillons-rubéole) et les troubles autistiques sont devenus une «épidémie mondiale», due probablement à de nombreux facteurs environnementaux, dont les ondes électromagnétiques. Tous les polluants planétaires actuels intoxiquent nos enfants, et la vaccination devient alors le facteur déclenchant de la dégringolade vers les troubles du développement. La sensibilité génétique est également un facteur, mais il ne peut être le seul.

Dr Françoise Berthoud, pédiatre FMH

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