Le poète enfume la nuit. Adossé à la pente des alpages, suspendu au bec de sa pipe d’où sort une volute qui est une prière. Peut-être la dernière. «Je devine la grande usure», note Maurice Chappaz en première page de ce Journal esquissé entre 2003 et 2004 et retravaillé peu avant sa disparition. Paru en […]
Chappaz qui prie et fume
Trois parutions honorent le poète valaisan né il y a cent ans. On y savoure son art du verbe délicatement suspendu entre ciel et terre

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