Les élus genevois entérinent l’espionnage préventif de la police
La gauche voulait imposer un cadre strict pour prévenir les dérives, sans succès.

Il aura fallu le vote de trois lois différentes, depuis 2013, pour permettre finalement à la police de procéder à des mesures d’observation secrètes avant qu’un délit ne soit commis. La législation actuelle est en effet caduque depuis un arrêt du Tribunal fédéral en 2014. Jeudi au Grand Conseil, Pierre Maudet, magistrat chargé de la Sécurité, souhaitait corriger le tir et redonner des moyens préventifs à la police. Il a
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