«Nos frères», les réfugiés
Malgré des débuts difficiles, la cohabitation entre réfugiés et habitants de Ngam, à la frontière entre Cameroun et Centrafrique, est porteuse d’espoirs.

«Ici ça donne! On vient de tous les villages alentour pour faire le marché ici», s’exclame Bouba, encerclé par une dizaine de femmes négociant âprement les prix. Ce commerçant camerounais s’est levé tôt ce lundi matin pour venir jusqu’à Ngam vendre ses casseroles en aluminium. Depuis quatre mois, il loue dans ce village une échoppe faite de terre et de paille. Comme lui, des bouchers, des négociants en tissu et
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