Amazonie: la marée noire de trop?
Les communautés indigènes veulent en finir avec les fuites pétrolières à répétition du pipeline traversant la forêt péruvienne. Elles proposent d’être associées au contrôle public de leurs territoires.

Les 25 janvier et 3 février derniers, d’importantes fuites de pétrole se sont produites sur l’oléoduc Norperuano en Amazonie, conduisant à la déclaration de l’état d’urgence sanitaire par le Pérou. L’équivalent d’au moins 3000 barils de pétrole se sont déversés à Villa Hermosa, dans la région d’Amazonas et de 1500 barils de pétrole à Mayuriaga, dans la région de Loreto, affectant quelque vingt-neuf communautés notamment par la pollution des fleuves.
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