La situation «intenable» des réfugiés
La Conférence suisse des institutions d’action sociale a dressé hier un tableau accablant. Dix ans après leur arrivée en Suisse, seuls 25% des «admis provisoires» travaillent.
Les cantons doivent se préparer à toute éventualité. «Une arrivée importante de requérants d’asile cet été n'est pas à exclure», selon Mario Gattiker. «Aucune vie n’est possible dans ces pays, comme la Syrie, totalement dévastés», souligne le patron du Secrétariat d’Etat aux migrations (SEM), qui se garde de confirmer les pronostics anxiogènes qui circulent dans les médias. Le défi? Que les futurs réfugiés obtiennent un travail et ne finissent pas
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