Si Mark Lanegan peine à exister, Stephan Eicher maîtrise ses automates
A La Bâtie, l'Américain à la voix de boucanier déçoit les attentes, tandis que «Stephan Eicher und die Automaten» séduit avec son concept rétrofuturiste.

La scène peut s’avérer cruelle, par exemple avec Mark Lanegan, sublime chanteur qui n’a pas vraiment convaincu lundi soir, dans l’antre surchauffé de La Bâtie. La faute à un ensemble de facteurs: réserve excessive donnant l’impression du service minimum, cordes vocales cramées, enfouies sous les guitares, et choix discutables dans un répertoire où le gros rock et les errances pop synthétiques côtoient un divin folk-blues aux abonnés absents… Sans oublier
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