Vraie histoire, histoire vraie

En réponse à un courrier des lecteurs du 11 novembre qui réagissait à l’article de Charles Heimberg (30.10.07) sur l’ouvrage L’Histoire suisse pour les nuls, Bertrand Müller propose une réflexion sur le rigoureux et nécessaire travail de recherche de la vérité auquel doit se soumettre l’historien qui est le seul garant du dépassement de ses propres préjugés.

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