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Et si on se taillait une bonne réputation?

Trois ans après la mise en oeuvre du processus de Kimberley visant à assurer sur le plan international une certification d’origine des diamants bruts, où en est-on? Nulle part ou presque, avertit aujourd’hui l’ONG anglaise Global Witness: le trafic continue, sans souci de l’origine exacte des gemmes, toujours au risque de financer des conflits armés en Afrique. Les moyens de contourner le processus de contrôle sont nombreux. Exemples en Suisse, qui reste une des principales plaques tournantes du diamant en Europe.

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