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Iran: la «Mollah SA» connaît la crise

Piliers du régime, les fondations de charité contrôlent l’économie iranienne, dont les activités «souterraines» –que d’autres appellent «illégales»– concernent environ un tiers du PIB national. Ces activités sont au centre de la lutte pour le pouvoir qui oppose les institutions démocratiquement élues, présidence et Parlement, aux institutions religieuses. Ces dernières sont contestées par les étudiants et par les jeunes chômeurs qui leur reprochent d’entretenir une économie de «compromis».

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